Adieu les cellulaires à l’école : pourquoi le Québec fait le grand ménage en 2025 !

Adieu les cellulaires à l’école : pourquoi le Québec fait le grand ménage en 2025 !

Franchement, vous avez vu ça ? Le Québec qui interdit carrément les cellulaires dans les écoles, ça vous surprend autant que moi ? J’ai voulu creuser cette histoire, parce que, wow, c’est un changement majeur ! Plus un seul téléphone, ni en classe, ni dans la cour, ni nulle part sur le terrain scolaire. Rien que d’y penser, je me demande comment les jeunes vont réagir. Alors, je me suis dit : pourquoi ne pas vous raconter tout ce que j’ai découvert, comme si on était en train de papoter tranquillement ? Dans cet article, je vous donne le scoop complet : pourquoi cette décision, comment ça va se passer, et ce que j’en pense vraiment. Allez, on plonge !

Pourquoi le Québec dit « stop » aux cellulaires dans les écoles ?

Bon, d’abord, posons la question qui tue : pourquoi cette interdiction totale ? Parce que, soyons honnêtes, les cellulaires, c’est une distraction monstre. Vous vous souvenez de vos années d’école ? Moi, je me rappelle des fois où je griffonnais dans mon cahier au lieu d’écouter le prof. Aujourd’hui, les jeunes, c’est TikTok, Snapchat, et des notifications toutes les 30 secondes. Pas étonnant que la concentration en prenne un coup !

En avril 2025, une commission spéciale – la Commission spéciale sur les impacts des écrans et des réseaux sociaux sur la santé et le développement des jeunes – a lâché une bombe dans son rapport intérimaire. Leur recommandation ? Interdire les cellulaires, écouteurs, et autres gadgets mobiles dans toutes les écoles primaires et secondaires, dès la rentrée 2025-2026. Et pas juste en classe, hein ! On parle de tout le terrain de l’école, jusqu’à la fin des cours. Rien de moins !

[](https://www.lapresse.ca/actualites/politique/2025-04-22/cellulaire-a-l-ecole/consensus-a-quebec-pour-une-interdiction-complete.php)

Leur raisonnement, c’est que les écrans nuisent à l’apprentissage, à la socialisation, et même à la santé mentale des jeunes. Des études montrent que même un téléphone éteint, posé sur le bureau, peut perturber la mémoire de travail. Vous imaginez ? Juste le fait de savoir qu’il est là, et bam, le cerveau divague. Ajoutez à ça les témoignages de profs qui disent que l’interdiction partielle (en classe seulement, depuis janvier 2024) n’a pas changé grand-chose. Les jeunes continuent de scroller dans les corridors et les cafétérias. Du coup, Québec a décidé de taper fort.

Adieu les cellulaires à l’école 2025

Et les jeunes, ils en pensent quoi ?

Attendez, c’est là que ça devient intéressant. La commission a consulté environ 500 élèves, et devinez quoi ? Les jeunes de 14 à 17 ans ne sont pas super chauds à l’idée. Normal, non ? Leur téléphone, c’est un peu leur meilleur ami. Mais – surprise ! – certains élèves ont dit être d’accord avec une interdiction totale, surtout ceux qui trouvent que les cellulaires créent trop de pression sociale ou de distractions. C’est pas tous les jours qu’on entend ça, avouez !

Comment ça va se passer concrètement ?

Bon, maintenant, la question pratique : comment on applique une interdiction pareille ? Parce que, soyons réalistes, dire « pas de cellulaires » et espérer que tout le monde obéisse, c’est un peu comme demander à un chat de ne pas courir après une souris. Ça prend des règles claires et du suivi.

Le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, a annoncé le 1er mai 2025 que l’interdiction s’appliquera dès septembre 2025, dans toutes les écoles publiques et privées, primaires et secondaires. Ça veut dire : pas de cellulaire en classe, pas pendant les pauses, pas dans la cour. Nada. Zéro. Les seules exceptions ? Les usages pédagogiques (si un prof décide d’intégrer une activité avec les téléphones), les besoins de santé (par exemple, pour des élèves avec des conditions médicales spécifiques), ou les besoins particuliers d’élèves handicapés.

[](https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2161959/cellulaire-ecole-eleve-appareil-mobile-intimidation-drainville-education)

Mais attention, Drainville ne veut pas tout imposer comme un dictateur. Chaque école devra définir ses propres modalités. Certaines pourraient demander aux élèves de laisser leur téléphone dans des casiers toute la journée. D’autres pourraient utiliser des pochettes à l’entrée des classes. À l’école secondaire De Rochebelle, à Québec, ils ont déjà un système où les téléphones sont confisqués pour 5, 10, ou 15 jours en cas d’infraction. Plutôt sévère, non ? Mais ça semble marcher.

[](https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2160368/elargissement-interdiction-cellulaires-ecole)

Voici une petite liste des idées qui circulent pour appliquer l’interdiction :

  • Des casiers sécurisés où les élèves déposent leur téléphone le matin.
  • Des pochettes ou boîtes dans chaque classe pour ranger les appareils.
  • Des sanctions progressives, comme la confiscation temporaire ou des travaux communautaires.
  • Des campagnes de sensibilisation pour expliquer pourquoi c’est important.

Et pour vous donner une idée de ce qui se dit sur le terrain, voici une vidéo qui résume bien le débat. Jetez-y un œil, ça vaut le détour !

Les défis ? Parce que, oui, il y en a !

Je vais être honnête : ça ne va pas être une promenade dans le parc. Déjà, les parents ne sont pas tous d’accord. La Fédération des comités de parents du Québec (FCPQ) a soulevé un point : certains jeunes ont besoin de leur téléphone pour contacter leurs parents ou leur employeur. C’est vrai, non ? Surtout pour les ados qui bossent après l’école. Mais la FCPQ dit aussi que si ça aide à la concentration et à la réussite scolaire, ils vont s’adapter.

[](https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2158978/commission-speciale-ecrans-rapport-interimaire)

Ensuite, il y a le défi de l’application. Les profs, déjà débordés, vont-ils vraiment jouer les gendarmes des cellulaires ? Et les écoles, vont-elles avoir les ressources pour équiper les classes de casiers ou de pochettes ? Sans parler des jeunes qui vont probablement trouver des combines pour contourner les règles. Parce que, avouons-le, les ados sont des pros pour ça !

Mon avis : un pari audacieux, mais…

Si je devais vous donner mon opinion – et je sais que vous voulez l’entendre ! – je dirais que c’est un pari courageux. Les cellulaires, c’est une addiction, même pour nous, les adultes. Alors, donner aux jeunes une pause forcée pendant les heures d’école, ça pourrait vraiment les aider à se reconnecter avec le monde réel. À socialiser, à écouter, à apprendre. Mais – et c’est un gros mais – il faut que ce soit bien fait. Sans accompagnement, sans sensibilisation, ça risque de créer plus de frustrations que de bénéfices.

Et puis, je me pose une question : est-ce qu’on ne devrait pas aussi apprendre aux jeunes à utiliser les technologies de manière responsable ? Parce que, dans le monde d’aujourd’hui, bannir les cellulaires à l’école, c’est un peu comme leur enlever un outil qu’ils devront maîtriser plus tard. Peut-être un mélange d’interdiction et d’éducation, non ? Qu’en pensez-vous, vous ?

En résumé : un virage majeur pour 2025

Pour faire court : le Québec va interdire les cellulaires dans toutes les écoles dès septembre 2025. Partout, tout le temps, sauf exceptions. C’est une décision qui fait jaser, mais qui pourrait vraiment changer la donne pour la concentration et le bien-être des élèves. Reste à voir si les écoles arriveront à suivre le rythme et si les jeunes joueront le jeu. Moi, je suis curieux de voir ce que ça va donner. Et vous ?

Si vous voulez creuser le sujet ou partager votre avis, laissez un commentaire ou jetez un œil aux discussions sur les réseaux sociaux. Ça chauffe sur ce sujet !